« She's a maverick, a Mad Mad Woman »
Nom: Abdellah - Prénoms: Sahar, Nazira - Âge: 37 - Anniversaire: 18 Mai - Yeux: marron - Cheveux: bruns - Taille: 1m80 - Orientation sexuelle: Bisexuelle - Situation amoureuse: divorcée - Nombre d’enfant: 1 (garçon, 5 ans) - Situation financière: Milliardaire - Origine: Iranienne - Nationalité: Iranienne - Ville: New York, NY, USA - Études/métier: Fondatrice d’une agence internationale d’événementiel, PDG d'une chaîne d'hôtels étoilés, entrepreneure - Activités illégales : 2ème membre important d’un réseau de tueurs à gages, à la tête d’un réseau international de trafic d’être humain (prostitution) et d'un trafic de pierres précieuses - Couleur favorite: Noir - Langues parlées: 10, dont 6 couramment - Passion: Arts, culture, apprendre - Artiste favoris: Salvador Dalí
« Un jour, je me suis mariée avec un homme que je pensais être l'homme de ma vie. Il était mon alter ego. Un homme impitoyable, élevé pour vaincre et dominer. Il était le genre d'homme que Nazira considérait comme idéal, et c'était la même chose de mon côté. Alors je me suis laissée emportée par la passion pour la seconde fois de ma vie. J'ai même accepté de lui faire un fils pour renforcer cette chose, que je pensais être notre amour. Il faisait renaître un feu en moi que je n'avais plus ressenti depuis un long moment. J'ai désiré cet homme comme je n'en avais désiré qu'un seul. Cette passion était réelle. Mais qu'en était il de l'amour ? Un jour, lors de l'une de mes rares discussions de ce type après un échange, j'ai demandé à Samuel comment savait-il qu'il aimait Natalia pour de vrai ? Comment pouvait-il en être certain ? Alors il m'a dit que c'était parce qu'il le sentait au plus profond de lui. Pas seulement parce qu'il trouvait que cette femme était la plus belle que le monde ait pu porter jusqu'à présent, qu'il ne voyait en ses défauts que de splendides qualités. Pas seulement parce qu'elle éveillait en lui une passion qui lui était, jusqu'à elle, encore inconnue, ni même parce qu'il lui attribuait une confiance aveugle. Mais bien parce qu'il était prêt à faire n'importe quoi pour la rendre heureuse et la protéger. Qu'il était prêt à soulever des montagnes et détruire le monde entier seulement pour ses beaux yeux et cultiver cet amour...
... Je me suis rendue compte que ça n'était pas mon cas. Que je ne ressentais même pas un quart de tout ça pour l'homme qui partageait ma vie depuis plus de dix ans. C'était juste de la passion, rien de plus, rien de si exceptionnel. Je me suis rendue compte que la seule et unique fois où j’avais ressenti ça, c’était il y avait plus de quinze ans, quelques temps après mon arrivée en Amérique. Oui, cet homme n'était pas comme moi, il restait bon malgré les vices qui entouraient son monde. Je ressentais pour cette personne un véritable amour, un amour pur et dangereux. Un doux poison. J’aurais été capable de n’importe quoi, des pires atrocités pour avoir l’amour de cette personne, la rendre heureuse à mes côtés. Tout pour qu’elle puisse voir en moi autre chose que sa maîtresse, que l’objet de ses désires et rendre cet amour réciproque...
.... Mais j'avais fini par me rendre à l'évidence. Cet amour était de toutes manières impossible. Les personnes comme moi ne sont pas faites pour aimer ou être aimées. Les personnes comme moi sont en réalité créées dans le seul et unique but d'apporter à cette Terre tous les vices, les péchés et les maux dont elle a besoin. »